Il me faut une photo...

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il y a 6 ans

Il me faut une photo...

AUTEUR : Aujourd'hui c'est Stéphanie

  • Il me faut une photo de toi, habillé en femme, sinon, on arrête cette correspondance et tu n'auras jamais l'occasion de me rencontrer ! .

Tel était le terrible contenu du mail arrivé dans ma boîte à messages ce jour là. Il émanait d'une maîtresse avec laquelle je correspondais depuis quelques temps. Elle précisait aussi que cette (fichue !) photo devait être de très bonne qualité (c'était souligné dans le texte !!) et qu'elle ne se contenterait pas d'un polaroïd "à la va-vite" où on ne distinguait que de vagues formes et beaucoup d'ombres...

J'étais coincé mais je désirais ardemment aller plus loin avec cette mystérieuse (et virtuelle !) dominatrice. Cela faisait en fait trois semaines que je correspondais, par écran de PC et INTERNET interposés, avec maîtresse MYRIAM. Comme de coutume dans ce genre d'histoire, elle avait daigné me répondre après que je lui ai adressé une belle et longue lettre de soumission. En retour, je recevais de façon périodique des ordres précis que je m'étais engagé à respecter de façon scrupuleuse. Au début, il s'agissait de choses assez simples, pour ne pas dire anodines, pour un homme fanatique de domination féminine. Il ne me déplaisait pas le moins du monde, par exemple, de porter des sous-vêtements féminins en dessous de mon costume trois pièces. Aucun collaborateur (ou collaboratrice, d'ailleurs !) ne se doutait un seul instant du subterfuge.

La préparation de mon rectum faisait également partie des ordres réguliers que je recevais. Ce fut de façon graduelle que j'appris à dilater mon canal anal, à l'aide de mes doigts avant de recevoir l'autorisation de le faire avec un godemiché.

En ce qui concerne l'acquisition du matériel nécessaire à ce type d'activité, j'avais eu recours à des achats par correspondance. La société en question se vantait d'être très discrète et je reçus, en effet, à chacune de mes commandes, un petit paquet très anonyme. Il contenait chaque fois différents objets indispensables à mon apprentissage de soumis.

C'est ainsi que j'avais eu l'occasion de commander quelques cassettes dites pornographiques axées sur la domination féminine. Je voulais connaître un scénario ou l'autre, même si au cinéma, c'est pas comme dans la vie... Ce fut par cet intermédiaire que je me procurai aussi mon premier gode (pompeusement nommé spécial anal), ainsi qu'une tenue de soubrette qui me faisait fantasmer depuis des lunes.

Mais une photo de moi, travesti en nana, et de bonne qualité, en plus !, je me voyais mal la commander par correspondance...

Je fis alors quelques essais tout seul, avec peu d'espoir de réussite, je dois l'avouer... Face à un miroir, je pris, avec mon appareil photo polaroid, plusieurs clichés de ma personne. Le résultat était loin d'être concluant.... La qualité était proche de zéro et j'allais irrémédiablement me faire recaler avec ce type de flou artistique... .

Il ne me restait pas beaucoup de temps. J'avais beau retourner le problème dans tous les sens, je ne voyais pas de solution. Personne n'était au courant de mes penchants pour ce type de relation et pourtant, il devenait évident qu'il me faudrait passer par un (ou une !) intermédiaire pour cette tâche pas vraiment ordinaire.

Je me décidai donc de contacter, en désespoir de cause, une ancienne copine de classe qui s'appelait VIRGINIE. C'était une fille qui avait toujours eu les idées assez larges en matière de sexualité. A l'époque déjà, elle n'avait rien fait pour dissimuler sa bisexualité et nous nous étions déjà croisé dans des soirées du genre arrosées...pour ne pas dire décadentes ...Elle me paraissait, à cet instant, la personne la plus indiquée pour cette mission tout à fait spéciale. C'est dans un registre des anciens étudiants de l'école que je trouvai ses coordonnées. Je pris mon courage à 2 mains et me jetai à l'eau...

Après l'échange des banalités d'usage, j'en vins au sujet de mon appel, ou en tous les cas, j'essayai de m'en rapprocher de manière plutôt malhabile.

-Je voudrais te demander quelque chose de délicat, dis-je.

-Et en quoi puis-je t'être utile ?

-Voilà, c'est pas très compliqué : Il faudrait juste prendre quelques photos de moi.

-Rien que ça, mais pourquoi fais-tu appel à moi pour ça ?

-C'est à dire que ce sont des photos un peu spéciales !

-Je pige pas !, En quoi sont-elles spéciales ces photos ? Ce sont peut -être des photos cochonnes, c'est ça ?

-Et bien, ma foi, en quelque sorte, oui, c'est ça dont il s'agit et je dois me déguiser, en plus.

-Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? alors, soit tu m'en dis plus, soit tu vas te faire voir ailleurs, mais arrête de tourner autour du pot !

-D'accord, d'accord, t'énerve pas, s'il te plait, je vais t'expliquer. J'ai rencontré une femme ou, en fait, je vais bientôt la rencontrer et avant de se voir, elle veut avoir certaines photos de moi.

-Je commence à comprendre, mais ça a été pénible, dis donc. Elle veut juger de la marchandise, en quelque sorte.

-Exactement, tu ne crois pas si bien dire Virginie. Maintenant, si cela t'embête, dis-le-moi tout de suite et je m'arrangerai autrement.... Ca, c'était un véritable coup de bluff, puisque je n'avais, en pratique, aucune solution de rechange...

-Non, non, c'est OK. Tu peux passer demain soir à 20 heures, si cela t'arrange. Je ferai cela pour toi en souvenir du temps passé...

-OK, à demain Virginie.

Je ne pris pas le temps de préciser qu'en outre, je devais me travestir... Chaque chose en son temps...

Il est probablement inutile de dire que je passai la journée du lendemain dans un état de fébrilité inhabituel. Je n'arrivais que difficilement à me concentrer sur le boulot et, dans l'après-midi, n'y tenant plus, j'allais même me masturber frénétiquement dans les toilettes du service. J'étais tellement excité que cette branlette fut rapidement expédiée et je fus calmer pendant au moins 15 minutes...

Je me pointai à l'heure dite chez Virginie. J'avais fourré mes accessoires, ainsi que l'appareil photo dans un sac de sport. Son appartement était joliment agencé et garni avec goût. Virginie était un beau brin de fille, de grande taille ( un peu moins d'1m80), cheveux noirs coupés mi-longs, avec des reflets brillants, des petites lunettes d'intellectuelle posée sur son nez droit et un large sourire carnassier (et pulpeux !). Ses seins émergeaient d'un tee-shirt rouge tandis que ses petites fesses étaient délicieusement moulées dans un jeans serré. En la suivant dans la pièce, je remarquai de suite que l'élastique de sa petite culotte dépassait ostensiblement de son LEVIS taille basse...

-Assieds toi et explique-moi tout parce que je t'avoue que je n'ai pas encore très bien compris ton histoire de photos !

-Bien, voilà, c'est pas très compliqué, en fait.

-C'est pas vraiment ce que j'avais cru comprendre par téléphone, en tous les cas !

-C'est vrai, je n'ai pas été très clair ; donc, résumons-nous : il conviendrait de prendre quelques photos de moi " déguisé ". J'ai aussi apporté mon appareil photo.

Tout en m'écoutant, elle farfouillait dans mon sac et en sortit, de façon cérémonial, ma tenue de soubrette, mes bas en résille et mon porte-jarretelles.

-Et bien ma cocotte, tu m'avais caché ça !! Et ça te branche de t'habiller en gonzesse ! ; j'ignorais la chose, même si je me suis douté qu'il s'agissait d'un truc dans le genre quand tu m'as appelé ! Ceci-dit, je trouve ton ensemble très mignon et je suis certaine qu'il te va à ravir.

-Euh, oui, oui, dis-je en bredouillant, légèrement dépassé par la tournure des événements...

-Je vais même t'aider à être plus vrai que nature

-C'est sympa de ta part Virginie, mais je veux pas a b u s e r de ton temps !

-Non, non, y a pas de problèmes, j'insiste et je sens que cela va m'amuser ; Et puis d'ailleurs, si tu n'es pas d'accord, je ne fais pas les photos...Allez, déshabilles-toi tout de suite..

-Ou ça ?

-Ben, ici, bien sûr ; tu ne vas tout de même pas faire la timide maintenant ! Au galop, j'ai dit à poils !!!

-Je me suis levé et ai commencé alors un timide déshabillage progressif, sous le regard un brin narquois et amusé de Virginie qui ne perdait pas une miette du streap-tease (improvisé). Après avoir laissé tomber le caleçon sur mes chevilles, je me hasardai à la regarder dans les yeux.

-Pour le streap, t'es pas très doué, y a pas à dire ! Bon, c'est pas grave, on est pas là pour ça. Tourne un peu sur toi-même que j'examine la marchandise, s'il te plait !

Je m'exécutai et fit un tour complet sur moi-même. Je ne pouvais dissimuler que la situation commençait sérieusement à m'exciter : ma verge pointait à 90 degrés !

-Allons bon, c'est qu'elle bande ma petite Stéphanie ; qu'est-ce qui te fait cet effet là ? C'est moi ou bien le fait d'être à poils devant moi ? Après tout, peu importe. Par contre, j'aime autant te prévenir que ta pilosité de mâle est fort peu appétissante. Une bonne domestique ne doit pas se présenter avec autant de poils autour dans tous les coins et ne parlons pas de poils pubiens. C'est franchement très moche !

Je bafouillai quelque chose du genre : " je m'en doute " !

-Viens dans la salle de bain, je vais arranger ça !

Comme un petit toutou, la floche à l'air, je la suivis dans la salle de bain.

-Installe-toi sur ce tabouret et ne bouge plus. Je vais te faire une coupe maison !.

C'est à l'aide de plusieurs rasoirs jetables (et à sec !) qu'elle m'extirpa rapidement, d'un geste décidé, tous les poils excédentaires présents sur mon thorax, mes jambes, mes fesses, etc. Dans le feu de l'action, elle frôlait constamment mon sexe tendu, sans avoir l'air de lui accorder la moindre attention... J'étais comme un patient avant une opération, dans les mains d'une infirmière.

-Tu sais que ta toison pubienne est trop fournie et n'évoque en rien la beauté d'un triangle féminin.

-Oui, oui, je sais Virginie. Je le fais parfois tout seul chez moi.

-Je vais aussi être obligée d'arranger ça, mais tu m'en diras des nouvelles !.

Elle se remit à l'ouvrage et tailla allègrement dans mon los a n g e pubien. Elle ne se gênait pas alors pour écarter mon pénis durci qui la gênait dans ses mouvements.

-Regarde, je suis sympa, je te laisse une toute petite touffe de poils au-dessus du sexe. C'est plutôt symbolique, of course !! Mets-toi à quatre pattes maintenant !

La proposition ne laissait aucune place à la discussion et je me plaçai de facto dans la position adéquate.

-Il faut enlever les poils du périnée et de l'anus ; je crois que c'est indispensable, compte-tenu de ce qui t'attend...

C'est ainsi qu'avec énormément d'application, Virginie s'attaqua à cette partie de ma pilosité intime. Elle ne fit aucun commentaire avant d'avoir terminer sa tâche.

-Voilà, c'est terminé, tu peux te lever et enfiler ta tenue de petite salope maintenant.

Ce que je fis prestement tandis que ma maîtresse du jour quittait la salle de bain en me lançant :

-Va chercher l'aspirateur et ramasse tous tes poils qui se trouvent par terre, exécution, Stéphanie ! . Après, tu me rejoins dans le salon, on va passer à la suite des festivités !.

La logique était respectée : j'étais travesti en servante et accomplissais le travail d'une servante. J'étais enfin au service d'une femme, très jolie qui plus est ! . A nouveau à quatre pattes, j'exécutai cette tâche de façon prompte et efficace avant de rejoindre Virginie dans le salon.

-Viens par ici, Stéphanie ; manifestement, rien qu'à en juger par la taille de ton zizi de gonzesse, tu prends ton pied pour le moment, n'est-ce pas ?

-Oui, maîtresse, je dois bien l'avouer !

-Et bien, c'est à mon tour maintenant !

-Bien sûr, maîtresse

-Tu enfiles ce bandeau sur les yeux et quand je te le demande, tu me lèches la chatte.

Dommage pour le bandeau, me suis-je dit tout bas ; j'aurais vraiment bien aimer voir son sexe. Dans ma position de soumise, je n'avais pourtant guère le choix et n'ai évidemment formulé aucune objection.

-Je vais aussi t'attacher les mains : il n'est pas question que tu me touches avec les mains, c'est bien compris !!

C'était en effet tout aussi clair, pour ne pas dire limpide !. J'étais donc bel et bien privé de la vue et du toucher de son sexe. Un autre bandeau entrava rapidement mes deux poignets dans le dos.

-Mets-toi à genou, petite chienne !

A partir de ce moment, je fus contraint de deviner les faits et gestes de ma maîtresse. Je crus deviner qu'elle enlevait son pantalon, mais le fond musical (DIRE STRAITS, private investigations) m'empêchait de distinguer de façon plus nette les sons. Cinq bonnes minutes passèrent avant que je puisse sentir sa présence tout près de moi et entendre, enfin, le son de sa voix.

-Lèches ça !

Avant d'avoir pu réaliser ce dont il s'agissait, mon nez et ma bouche étaient recouverts d'une étoffe légèrement humide et odorante.

-C'est ma petite culotte, alors fais-lui honneur !

Sans attendre, je fis coulisser ma langue sur ce morceau de coton en l'enfonçant dans chaque repli du tissu. Certaines zones étaient carrément mouillées et proféraient un parfum d'urine fraîche. Virginie avait très certainement du s'essuyer la vulve avec sa culotte avant de me la coller sur le visage. D'autres parties étaient plutôt poisseuses et je supposai à cet instant que ma " préparation en soumise" ne l'avait pas laissée tout à fait indifférente... (encore un fantasme de soumis, sans doute...).

-C'est bon, arrête et lèches -moi pour de vrai maintenant ! Si tu n'arrives pas à me faire jouir avec ta langue, ça va être ta fête... !

En grand amateur de minette, j'ai fait tout ce que j'ai pu, ami lecteur (et lectrice), je vous le promets ! J'ai véritablement ventousé son sexe de mes lèvres avant d'explorer avec ma langue chaque recoin de son intimité. Il n'y a pas un centimètre carré de muqueuse intime qui a échappé à mes efforts de succion. Ss poils étaient regroupés sur son pubis tandis que ses grandes lèvres en étaient dépourvus. Dans la mesure où j'y avais accès, j'ai étendu mes explorations linguales à son périnée, ainsi que le pourtour de son anus. Je m'enivrais littéralement de son arôme intime et quand elle se cabra brutalement, comme tétanisée, en plaquant v i o l emment ma face sur son pubis, je sus qu'elle avait joui..

C'est en rentrant dans mon appartement cette nuit là que je m'aperçus que l'on avait oublié de faire ces satanées photos ; Mais étaient-elles encore bien nécessaires.. ?

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